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  Leadership

KINSHASA LE 01 AOUT 2008
LE LEADERSHIP DANS UN ETAT DE DROIT

PAR LÉON KENGO WA DONDO PRÉSIDENT DU SÉNAT

EN LA CATHÉDRALE NOTRE DAME DU CONGO SOUS LES AUSPICES DE L'INSTITUT INTERNATIONAL AFRICAIN

EN PRÉSENCE DE SON EXCELLENCE MONSEIGNEUR L’ARCHEVÊQUE LAURENT MONSENGO P.

Excellence Monseigneur l’Archevêque.

Le choix du sujet de ce jour est le vôtre et date de l’année dernière.
La présente Conférence aurait dû se tenir à Kisangani.
Les contraintes de nos deux agendas n’ont pu se concilier.
Kinshasa, devenu votre siège, donne à l’exposé ainsi qu’à son auteur une résonance que peut-être, Kisangani n’aurait pu offrir.

Acceptez, Excellence Monseigneur l’Archevêque mes remerciements :
D’abord, pour le cadre qui n’honore pas seulement l’homme politique mais aussi et surtout un chrétien fort de sa foi.
Ensuite, pour l’organisation, l’ordonnancement de la manifestation d’aujourd’hui. Enfin, pour votre adresse pleine d’attention et de sollicitude.

Rien à redire. Sinon admiration et considération.
Et vous le savez.

Distingués invités en vos titres et qualités,

Le public par sa présence nombreuse, nous témoigne déjà sa confiance.
Fasse l’exposé rencontrer son attente, nourrir ses réflexions, enrichir le débat d’idées pour le grand bien de notre pays, de notre peuple et surtout de nos cadres publics et privés.
Merci.

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LA UNE

Ce mercredi en conférence des présidents

Le Parlement examine la requête corrigée de la Cei

Par  Le Potentiel Edition 3451 du Mercredi 15 Juin 2005

L’examen de la requête de la Commission électorale indépendante portant prolongation de la transition aura lieu probablement ce vendredi au Parlement. Mais auparavant, le président de la Commission électorale indépendante déposera devant les deux bureaux du Parlement la copie corrigée de sa requête. La séance publique est prévue ce mercredi à 15 heures au Palais du Peuple.

Les objectifs de la transition n’ont pas été atteints globalement, compromettant au 30 juin 2005. C’est de un. De deux, les insatisfactions sociales restent réelles et insupportables pour le peuple congolais. De trois, la bonne gouvernance est une exigence ainsi que la transparence. Donc, les membres du Cdr soutiennent qu’il n’y a pas une étape où on va prolonger la transition de façon automatique. Notre position est claire : pas de prolongation automatique de la transition ». lire l'article.


Le Potentiel

Edition 3425 du Samedi 14 Mai 2005CINQ QUESTIONS

cinq questions à Kitenge Yesu

Par Médard Muyaya

1. Aujourd’hui, tous les congolais sont dans la fièvre de la fin de la transition au 30 juin 2005. Quel est votre point de vue ? Sans délai, je souscris à cette démarche qui est tout à fait logique et incontournable. Vous vous souvenez qu’en août de l’année dernière, j’avais déjà avancé l’idée de leadership de sauvetage. J’avais fait allusion au sphinx de Limete. Donc pour moi ce n’est pas une surprise. C’est une confirmation. Les choses ne pouvaient qu’aboutir de cette façon. C’était déjà prévisible que les acteurs politiques n’ont pas fait montre d’une volonté politique manifeste de conduire le peuple aux élections. Ils ont passé leur temps à autre chose, oubliant ainsi les objectifs principaux du processus électoral. Cet accord a été négocié pour le peuple à qui on devait à tout moment rendre des comptes. Ce qui n’est pas le cas. A ceux qui s’accrochent au deuxième alinéa de l’article 196 qui consacre la prolongation de la transition à six mois renouvelable une fois, nous leur demandons qu’il importe d’établir un bilan de ce qu’on a fait pendant deux ans pour qu’on sache ce qu’on peut faire par al suite. La prolongation n’était pas automatique. Plus question de vouloir rouler notre peuple fatigué par la misère.

2. Chaque fois que vous intervenez dans la presse, vous ne cessez de clamer haut et fort que Etienne Tshisekedi n’est pas une pièce de rechange. Que voulez-vous dire exactement ?
Je voudrais dire tout simplement par là qu’il constitue une alternative et c’est très clair. Je ne mâche pas les mots. Je le dis clairement. Les congolais ne doivent pas s’agiter. Ils doivent garder leur calme. Ceux qui sont au pouvoir n’ont pas rempli correctement leur mission et ils le reconnaissent. Il faut trouver une autre alternative.

3. Les acteurs politiques de la transition s’accrochent à l’article 196 de la Constitution qui prévoit la durée de la transition à 24 mois avec possibilité de prolongation de six mois une fois renouvelable.
Quelle est votre réaction ?
Vous savez que si on ne s’en tenait qu’aux articles, Kasa-Vubu, Lumumba, Mobutu et Laurent Désiré Kabila seraient toujours là. Il ne s’agit pas d’un problème d’articles. Le problème qui se pose concerne le vœu du peuple. Il faut écouter l’opinion afin d’éviter des situations fâcheuses et des événements malheureux. C’est tout ce que nous demandons et non autre chose. Il faut écouter l’opinion et j’insiste. Quand les événements se sont déroulés dans ce pays, il y avait des articles. Je ne voudrai pas m’accrocher aux articles. Je vois la réalité qu’il faut regarder en face. C’est ce qui importe et prime.

4.Louis Michel et Javier Solana sont passés en Rdc pour contredire Etienne Tshisekedi et encourager les animateurs de la transition qui doivent épuiser tout l’article 196. Qu’en dites-vous?
Louis Michel engage l’union européenne et ici nous engeons notre peuple et nous savons ce qu’il faut pour ce peuple. Mais je pense que quelque part il y a moyen de concilier les deux points des vues. Nous n’allons pas nous ériger en anti Louis Michel. Dans tout ce qu’il a dit, il y a à prendre et à laisser. Mais, je crois qu’il faut un atterrissage en douceur et c’est ce que tout le monde veut. Nous ne voudrons pas qu’il y ait des troubles le 30 juin 2005. Cela doit être compris par les dirigeants et par le peuple. Nous voulons que les choses se déroulent dans le calme et nous avons encore un peu de temps en vue de faire comprendre aux uns et aux autres qu’il faut écouter l’opinion et c’est mon insistance.

5. Allié au Rcd, vous êtes resté trop radical dans vos prises de position. Est-ce par stratégie ou par repositionnement que vous le faîtes ?
Je ne sais pas si je suis radical. Et même alors, je le serai par rapport à qui ? Dans le paysage politique congolais d’aujourd’hui, il n’y a pas d’opposant. Tous, nous avons adhéré à l’accord global et inclusif y compris le sphinx de Limete. Donc, il y en aura certainement à partir du 30 juin 2005 à minuit et là on verra en ce moment qui sera dans l’opposition et au pouvoir. Pour le moment, il n’y a pas d’opposition radicale. J’essaie de comprendre, d’interpréter et d’écouter l’opinion. Je ne suis pas radical et je ne le serai jamais. Je suis réaliste. Je vois et j’interprète ce que j’entends. 

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DISCOURS DU PRÉSIDENT NATIONAL DE L’UDPS

A LOUVERTURE DE LA SESSION EXTRAORDINAIRE

DU COMITE NATIONAL DE L’UDPS

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LE LEADERSHIP DE SAUVETAGE

Tshisekedi entre le devoir de la nation

et le suicide politique

Yezu Kitenge: "on ne compose pas avec

une équipe qui a perdu, on la remplace"

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Vous avez dit évaluation ?

Les petites
phrases choc de Yezu Kitenge

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FIN DE LA TRANSITION ?

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